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Notre regard

TdG |  Le désespoir des réfugiés de la guerre du Yémen: «Ici, on meurt peu à peu»

Camp de Markazi, 50°C à l’ombre. Ils ont réussi à fuir les bombes qui pleuvent sur leur pays. Mais à Djibouti, les réfugiés du conflit pleurent leur vie d’avant.

Article de Emeline Wuilbercq et Emilienne Malfatto à Obock et Djibouti, publié dans la Tribune de Genève, le 3 mars 2017. Cliquez ici pour lire l’article complet sur le site de la Tribune de Genève.

Quand Oum Yasser est arrivée dans la rue, il n’y avait plus de maison. Plus de maison, plus de mari. Les bombes qui pleuvaient sur Aden, dans le sud du Yémen, avaient fini par toucher son immeuble. C’était en mars 2015, le début de l’entrée en guerre de la coalition arabe menée par Riyad pour contrer l’avancée des rebelles chiites houthis qui contrôlaient de vastes pans de territoire yéménite, dont la capitale Sanaa.

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Ali Addeh refugee camp, Djibouti. Photo: European Union/ECHO