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Le Temps | Des centres de réfugiés dans des États tiers pour désengorger l’Europe

La Turquie participerait à la gestion commune de la crise contre l’exemption de visas pour des voyages de courte durée. L’UE entend conditionner l’aide au développement à l’Afrique contre des mesures visant à retenir les candidats au départ.

Article de Ram Etwareea, publié dans Le Temps, le 15 octobre 2015. Cliquez ici pour lire l’article complet sur le site du Temps.

«Un centre de tri ou d’enregistrement dans un pays tiers pose d’importants problèmes légaux et techniques, déclare Elizabeth Collet, directrice du Migration Policy Institute Europe basé à Bruxelles. Il serait nécessaire mais difficile d’y imposer des règles ou des standards européens.» Une telle initiative, selon elle, suppose aussi que des Etats européens accueillent volontairement ceux ayant droit à l’asile. «Vu la difficulté récente de relocaliser les 160’000 réfugiés se trouvant en Italie et en Grèce, elle ne serait 
pas réaliste, poursuit-elle. En revanche, un centre d’enregistrement dans le pays d’origine ou de transit est un bon moyen pour éviter que les candidats à l’asile entreprennent des voyages dangereux ou se fassent exploiter par les passeurs.»

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