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IRIN | Crise humanitaire occultée en Turquie

Alors que les combats s’intensifient dans la vieille ville de Sur, les autorités turques ont imposé un couvre-feu qui a forcé Neaz Tanlikulu, âgé de 75 ans, à quitter sa maison. Les étroites allées pavées où résonnaient les cris joyeux des parties de football de rue sont devenues le théâtre d’échauffourées meurtrières entre les forces de sécurité et la branche jeune du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), mouvement séparatiste interdit par l’État.

Article de Jodi Hilton, publié sur le site d’IRIN, le 5 février 2016. Cliquez ici ou sur l’image ci-dessous pour lire l’article complet sur le site d’IRIN.

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M. Tanlikulu avait cherché refuge avec sa fille dans un autre secteur de Sur, l’ancien district fortifié de Diyarbakir, ville à majorité kurde. C’était il y a deux mois. Mais la semaine dernière, les combats et les restrictions ininterrompues se sont étendus à son nouveau quartier, l’obligeant à fuir encore une fois.

Flanqué d’un radiateur, d’un matelas et d’Elif, sa petite-fille de six ans, M. Tanlikulu attendait il ne savait quoi sur le trottoir.

«Nous sommes tous désespérés», a dit le vieil homme à IRIN. «Nous ne savons pas où nous pouvons aller.»

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