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visionscarto.net | De Rome à Gaziantep, des réfugié·es otages de l’Union européenne

Pour les milliers de réfugié·es qui ont pris le chemin de l’exil, la vie s’est figée dans le temps et dans l’espace, coincé·es en Italie, en Grèce ou en Turquie. Depuis l’accord UE-Turquie du 18 mars 2016, l’Europe s’efforce de contenir à tout prix leur mouvement dans sa partie méridionale. En témoigne ce reportage photographique de la vie des réfugié·es dont l’attente est devenue la mesure du temps et l’absence d’informations la cause du désespoir.

Article et photographie de Sara Prestianni publié sur le site visionscarto.net, le 26 septembre 2016. Cliquez ici pour lire l’article complet sur le site visionscarto.net.

En 2015, l’Union européenne adopte une nouvelle politique migratoire, dite des «hotspots», laquelle prévoit l’installation de centres d’enregistrement et d’identification des migrants entrant dans l’espace Schengen. En vertu de ces nouvelles règles, l’Italie doit prendre en charge toute personne arrivant sur les côtes siciliennes et leur prendre, de force si nécessaire, les empreintes digitales. Ce qui n’empêche pas, bien sûr, ces centaines de migrant·es de poursuivre leur voyage vers le pays européen de leur choix.

Camp du Baobab, Rome. Photo: Sara Prestianni, 2016.
Camp du Baobab, Rome. Photo: Sara Prestianni, 2016.

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