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Notre regard

Le Temps | La petite nageuse syrienne devenue icône médiatique

Yusra Mardini, 18 ans, fait partie de la première équipe de réfugiés de l’histoire des JO. Elle s’est fait connaître en sauvant des migrants en mer Egée: elle était l’une des seules du rafiot à savoir nager. Un parcours atypique et l’incarnation d’un nouvel idéal olympique.

Article de Valérie de Graffenried, publié dans Le Temps, le 4 août 2016. Cliquez ici pour lire l’article complet sur le site du Temps.

C’est à Berlin qu’elle boucle son périple, après vingt-neuf jours d’errance à travers la Macédoine, la Serbie, la Hongrie et l’Autriche. En bus, en train, à pied. A peine arrivée dans un centre de réfugiés de la capitale allemande, elle demande une piscine. C’est avec la Wasserfreunde Spandau 04 qu’elle s’entraînera avec sa sœur. Son coach est rapidement bluffé par ses capacités. Très vite, il lui déclare que leur objectif sera les JO 2020 de Tokyo. Mais c’était avant que le CIO ne la présélectionne pour Rio parmi 42 autres athlètes devenus requérants d’asile. Et qu’elle apprenne, le 3 juin, qu’elle fait partie des dix derniers chanceux.

Cliquez ici pour continuer la lecture de l’article et ci-dessous pour voir une vidéo sur l’histoire de Yusra.

Yusra_RefugeeTeam_Rio