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La Liberté / Le Courrier | L’emploi de migrants dans l’agriculture est mis en veilleuse à Neuchâtel

Le canton craint que les réfugiés à la ferme ne soient utilisés comme une main-d’œuvre à prix cassé. Le projet national se poursuit, quant à lui, doucement.

Article de Sandrine Hochstrasser, publié dans  La Liberté et Le Courrier, le 29 mars 2016. Cliquez ici pour lire l’article complet sur le site du Courrier.

Les réfugiés ne travaillent plus dans l’exploitation agricole qui les a accueillis à Neuchâtel. Après un mois et demi de formation, l’expérience s’est achevée et le programme d’intégration est en stand-by. Le canton faisait pourtant figure de précurseur avec sa formation agricole destinée aux réfugiés. Le projet pilote lancé l’année dernière au niveau national par l’Union suisse des paysans, lui, se poursuit. Mais seules deux exploitations romandes y ont participé pour l’instant en Valais.

Les appels se sont multipliés pourtant à l’égard des agriculteurs. La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga réclamait  en janvier que le monde paysan – qui «recrute 9000 personnes à l’étranger chaque année» – embauche davantage de migrants résidant en Suisse. Il y a deux semaines, c’est la Conférence suisse des institutions d’action sociale (CSIAS) qui s’est inquiétée de l’inactivité des personnes au bénéfice de l’asile en Suisse.

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