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Le Temps | L’humanitaire à l’abandon

Hélas, plus aucun élu libéral ne lit Benjamin Constant

La Suisse aurait-elle pu accueillir Aylan, l’enfant de Bodrum, s’il avait eu la chance d’échapper au naufrage? La question nous hante. Car il n’y a plus de Suisse humanitaire. Il y a juste un pays écartelé entre le sentiment naturel qui porte à offrir son secours et la crainte de devoir consommer un peu moins. Et l’égoïsme l’emporte.

Article d’Yves Petignat, publié dans Le Temps, le 5 septembre 2015. Cliquez ici pour lire l’article complet sur le site du Temps.

S’il n’y a plus de Suisse humanitaire, il y a des Suisses solidaires. Il n’en manque pas pour croire encore que la Constitution fédérale est fondée sur un «esprit de solidarité et d’ouverture au monde». Mais ils ne font pas la Suisse à eux seuls.

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