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IRIN | Les migrants nigérians toujours dans la mire de l’UE

L’accord entre l’Union européenne et la Turquie a pratiquement fermé la route de la mer Égée. L’UE tente maintenant de conclure une série de traités avec des pays africains dans le but de freiner l’augmentation des traversées de la Méditerranée centrale qui a donné lieu à un nombre record de décès de migrants en mer.

Article publié le 28 octobre 2016, sur le site IRINnews.org. Cliquez ici pour accéder à l’article complet.

Après les visites récentes des ministres des Affaires étrangères italien et allemand, l’UE a envoyé une délégation dans la capitale nigériane, Abuja, la semaine dernière. Il n’est un secret pour personne que ce tourbillon de réunions de haut niveau doit mener à la signature d’un accord.

Le Nigeria est le pays d’origine de la majorité des migrants qui arrivent par bateau en Italie cette année. Des 157 000 migrants et réfugiés qui sont arrivés jusqu’à présent en 2016, 19 pour cent sont Nigérians, selon le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).

Le Nigeria est l’un des cinq pays africains prioritaires visés par le cadre de partenariat avec les pays tiers lancé par l’UE en juin. Les quatre autres sont l’Éthiopie, le Mali, le Niger et le Sénégal.

Des responsables de l’UE se sont rendus à Abuja la semaine dernière pour donner le coup d’envoi officiel des négociations avec le gouvernement nigérian. L’objectif est de parvenir à la signature d’un accord qui permettrait à l’Italie et aux autres États membres de l’UE de rapatrier les migrants nigérians n’ayant pas droit à l’asile.

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