SINGA | Enquête nationale sur l’asile et l’entrepreneuriat
SINGA, en collaboration avec le Secrétariat d’État aux Migrations (SEM), organise une conférence nationale sur l’asile et l’entrepreneuriat à Bienne en novembre 2025. Dans ce cadre, l’organisation — qui développe des programmes d’accompagnement à la création d’entreprise pour les personnes issues de l’asile ou de la migration — lance un questionnaire. Celui-ci vise à recueillir les témoignages et les expériences des personnes concernées ayant un projet entrepreneurial (en cours, réalisé ou interrompu) dans toute la Suisse. Nous relayons les informations ci-dessous.
SINGA est une organisation dont la mission est de soutenir les personnes ayant des expériences de l’asile ou de la migration, à travers des programmes innovants d’accès à l’entrepreneuriat en Suisse depuis 2017.
Dans le cadre de sa mission de mise en lumière des défis de l’intégration socio-économique, SINGA organisera la première Conférence nationale sur l’entrepreneuriat des personnes réfugiées, en collaboration avec le Secrétariat d’État aux migrations (SEM). Elle se déroulera à Bienne en novembre 2025.
Pour soutenir cette initiative, une enquête a été lancée jusqu’au 20 mai dans le but de récolter les témoignages et expériences des personnes concernées. L’objectif est d’identifier les barrières et le type de soutien nécessaire, et d’élaborer des recommandations à l’intention des autorités suisses afin de simplifier et de renforcer les parcours entrepreneuriaux des personnes réfugiées. Les résultats seront présentés et discutés lors de la séance du 7 novembre.
Pourquoi participer ?
- Tu as une expérience de l’asile en Suisse ? (permis N / F / B-réfugié ou S) ? Et une expérience de l’entrepreneuriat en Suisse ?
- Ouvre des opportunities pour des entrepreneurs comme toi !
- Partage tes défis et tes succès pour élaborer de futures recommandations politiques!
Clique ici pour remplir le sondage, d’ici au 20 mai 2025. Ta contribution fait la différence !
Pour toute question, n’hésitez pas à contacter Irene Antolín, responsable de l’étude.
