Aller au contenu
Notre regard

TdG | Genève cherche à renforcer l’employabilité des réfugiés

La grande majorité des détenteurs de permis F et B ne travaillent pas. Un programme pilote veut changer la donne.

Article de Fedele Mendicino publié dans la Tribune de Genève, le 17 mai 2016. Cliquez ici pour lire l’article sur le site de la TdG.

Au départ, il y a un constat. «La grande majorité de ces gens vont rester en Suisse, se faire une vie ici, il faut les faire rentrer sur le marché de l’emploi», résume Nicolas Roguet, délégué au Bureau de l’intégration des étrangers (BIE). Ces gens, ce sont «des admis provisoires ou des réfugiés» détenteurs d’un permis F, d’un permis B ou même d’un permis C (lire encadré) et vivant à Genève. Parmi eux, le BIE a identifié une population cible de 2234 personnes et s’est aperçu que 70% de celle-ci, soit 1619 «réfugiés employables» âgés en moyenne de 35 ans, n’exerçaient pas d’activités lucratives.

Cliquez ici pour continuer la lecture de l’article.

Concernant la problématique du travail des réfugiés, vous pouvez consulter notre fiche « Oisiveté? Travail sur appel, contrats précaires, salaires très bas… Qui profite de qui?« , publié dans notre dossier « préjugés en matière d’asile ».