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Revue

VE 88 / juin 2002

Avoir perdu ses repères les plus familiers, sa maison et ses proches, est une des expériences les plus douloureuses. Malheureusement, si beaucoup de bénévoles s’efforcent d’agir auprès des réfugiés pour les aider à surmonter cette épreuve, force est de constater que notre système d’accueil ne fait qu’aggraver les choses. Depuis qu’a été institué un système de répartition des requérants d’asile entre les cantons, jamais l’Office fédéral des réfugiés n’a voulu prendre sérieusement en compte les liens sociaux des personnes venues demander l’asile en Suisse. Bien sûr, les conjoints et leurs enfants mineurs ne sont pas séparés, mais pour le reste, les situations absurdes sont légion.

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CHRONIQUE SUISSE | du 1er avril au 29 mai 2002

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