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Emploi

Conseil fédéral | Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse

Le Conseil fédéral a publié, le 15 mars 2024, une vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse[1]« Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, consulté … Lire la suite. Le rapport souligne notamment que la participation au marché du travail des titulaires d’un permis provisoire, réfugié ou d’un statut S pourrait être augmentée et la collaboration avec les entreprises et l’économie renforcée. Nous partageons ci-dessous quelques extraits du rapport, en lien avec les personnes issues de l’asile et l’emploi.

En bref

Le rapport du Conseil fédéral « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse »[2]« Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 46, … Lire la suite revient sur la mise en œuvre de l’art. 121a Cst., ajouté suite à l’initiative populaire « Contre l’immigration de masse » et acceptée par le peuple et les cantons le 9 février 2014 . Dans ce rapport, le Conseil fédéral salue les mesures prises actuellement et constate que « la participation au marché du travail de certains groupes pourrait néanmoins encore être augmentée de manière ciblée dans le cadre des mesures et des structures existantes. »[3]Communiqué du Conseil fédéral du 15 mars 2024, consulté le 8 avril sur https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-100377.html Parmi ces groupes, on retrouve notamment les personnes dont on a reconnu le besoin de protection (permis F, provisoire), les personnes titulaires d’un permis réfugié ou d’un statut S.

Le rapport du Conseil fédéral rappelle que la politique suisse d’intégration vise notamment à reconnaitre, promouvoir et utiliser le potentiel de la population étrangère sur le marché du travail [4]« Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 46, … Lire la suite.

Les personnes issues de l’asile représentent une main-d’œuvre disponible sur place

Comme le souligne le Conseil fédéral, la définition de « main-d’œuvre présente en Suisse » est la suivante :

Définition de la main-d’œuvre potentielle en Suisse

Sont considérés comme travailleurs en Suisse, selon l’art. 21, al. 2, LEI, les Suisses, les titulaires d’une autorisation d’établissement, les titulaires d’une autorisation de séjour qui ont le droit d’exercer une activité lucrative, ainsi que les personnes admises à titre provisoire (AP), les réfugiés reconnus (R) et les personnes bénéficiant du statut de protection S.

Source: « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p.6, https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf

Renforcer la collaboration avec les entreprises et l’économie

Par ailleurs, le rapport souligne que l’on peut encore « Renforcer la collaboration avec les entreprises et l’économie : En 2023, le SEM a adopté différentes mesures visant à intensifier la collaboration avec les employeurs et les branches professionnelles, en particulier pour l’établissement de certificats de branche et pour des plateformes de mise en relation d’employeurs et de demandeurs d’emploi (matching)».[5]« Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 50, … Lire la suite

Des données ne permettant pas de tirer des conclusions fiables

Enfin, on retiendra que « Les données issues de PLASTA ne permettant pas de tirer des conclusions fiables sur le placement » des réfugiés reconnus et personnes admises à titre provisoire qui sont sans emploi, c’est pourquoi « le SEM prévoit de réaliser en 2024 une étude sur l’impact de la mise en œuvre de l’art. 53, al. 5, LEI.»[6]« Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 51, … Lire la suite

Dans le rapport, on retrouve les objectifs cantonaux en matière d’intégration ainsi que les mesures nationales décidées pour soutenir l’intégration des personnes issues de l’asile sur le marché de l’emploi . Vous trouverez ci-dessous des extraits.

Extraits du rapport en lien avec l’employabilité des personnes issues de l’asile

[Extraits du Rapport du Conseil fédéral « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse » du 15 mars 2024 | Chapitre 5 – Politique d’intégration[7]« Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 46 à … Lire la suite:]

Programmes cantonaux d’intégration

Personnes ayant un potentiel de formation et d’employabilité

Selon les estimations des cantons, 86 % des AP/R en âge de travailler ont un potentiel d’employabilité et/ou une aptitude à la formation[8]Cf. Suivi de l’encouragement de l’intégration – Indicateurs PIC / AIS. De nombreux AP/R ont suivi ou interrompu une formation dans leur pays d’origine. Par ailleurs, un grand nombre de personnes touchées par la pauvreté et dépendantes de l’aide sociale (relevant pour celle-ci de la compétence des cantons et des communes) ont également un potentiel d’aptitude à la formation et d’employabilité, qu’il est cependant difficile de quantifier.[9]« Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 48, … Lire la suite

Intégration professionnelle des personnes avec statut de protection S

Statut de protection S et Programme S

Le Conseil fédéral a activé le statut de protection S pour les réfugiés d’Ukraine lors de sa séance du 12 mars 2022. Le 1er novembre 2023, le Conseil fédéral a décidé de ne pas lever le statut de protection S avant le 4 mars 2025.

En outre, le Conseil fédéral a défini comme objectif pour l’intégration sur le marché du travail, que 40 % des personnes avec statut S en âge de travailler devraient avoir un emploi d’ici à la fin de 2024. Pour ce faire, le DFJP doit élaborer et mettre en œuvre d’autres mesures concrètes en collaboration avec le DEFR, les cantons et les partenaires sociaux. Le Conseil fédéral a conçu le statut de protection S de manière à permettre l’exercice d’une activité lucrative salariée ou indépendante dès l’octroi de la protection provisoire. Une autorisation de travail est nécessaire dans tous les cas et est délivrée par les autorités cantonales compétentes. Le respect des conditions de travail et de salaire en usage dans la localité et la branche est supposé et contrôlé. Selon l’art. 21 LEI, les titulaires du statut de protection S entrent dans la catégorie de la main-d’œuvre en Suisse.

Afin de soutenir les cantons dans l’intégration professionnelle de ces personnes, le Conseil fédéral a décidé, le 13 avril 2022, de mettre en œuvre des mesures de soutien sous la forme d’un programme d’importance nationale (Programme S). Le DFJP a ainsi été autorisé à prendre des mesures de soutien en faveur des cantons, en mettant l’accent sur les domaines de l’acquisition de compétences linguistiques, de l’accès au marché du travail et des enfants et la famille. Le 1er novembre 2023, le Conseil fédéral a décidé de prolonger le Programme S jusqu’au 4 mars 2025, par analogie au maintien du statut de protection S.

Désormais, les cantons sont soumis à des directives plus contraignantes pour l’utilisation des contributions fédérales. Ils doivent notamment prévoir des mesures d’encouragement linguistique pour toutes les personnes en quête de protection en provenance d’Ukraine et évaluer le potentiel et les besoins spécifiques d’encouragement au cas par cas.

Les personnes avec statut de protection S ont en outre accès aux offres des PIC et aux programmes pilotes « Préapprentissage d’intégration » (cf. ch. 5.3.2) et « Aides financières » (cf. ch. 5.3.3) de la Confédération.

Intégration professionnelle des personnes avec statut de protection S

Les personnes avec statut de protection S sont très bien formées. Parmi les personnes arrivées entre mars et juin 2022, et selon les indications qu’elles ont elles-mêmes fournies, 70 % disposent, selon leurs propres indications, d’une formation de niveau tertiaire et 94,5 % d’au moins un diplôme de formation post-obligatoire. Environ 40 % des personnes en quête de protection ont de bonnes connaissances d’anglais94. Deux ans sont généralement nécessaires pour prendre pied avec succès dans la vie active en prenant un travail qualifié.

À ce jour, l’évolution de l’intégration dans le marché du travail suisse peut être considérée comme positive, mais il existe encore un potentiel d’augmentation du taux d’emploi. Le 1er novembre 2023, le Conseil fédéral a décidé de viser une augmentation du taux d’emploi d’environ 20 % actuellement à 40 % d’ici à la fin de 2024. Pour atteindre cet objectif, le DFJP (SEM) est chargé d’élaborer et de mettre en œuvre des mesures concrètes supplémentaires, en collaboration avec le DEFR (SECO, SEFRI), les cantons et les partenaires sociaux. Les réfugiés d’Ukraine ne sont pas venus en Suisse pour y travailler, mais parce qu’ils cherchent à se protéger d’une guerre. Le taux d’emploi était de 14,3 % à la fin de 2022. Il a ensuite progressé à 20 % (état : novembre 2023). Les personnes actives se répartissent dans plus de 50 branches. Environ 60 % des personnes avec statut de protection S travaillent principalement dans les domaines de la restauration et de l’hôtellerie, de la planification, du conseil et de l’informatique, de l’enseignement, des services à la personne et de l’agriculture.

Si la répartition entre les sexes est à peu près équilibrée pour les moins de 18 ans, les femmes sont nettement surreprésentées dans la catégorie des personnes en âge de travailler, avec une part d’environ 70 %. La tranche des 27 à 47 ans représente à elle seule près de la moitié des personnes en âge de travailler. L’expérience montre que c’est aussi dans ce groupe que se trouve la plupart des femmes avec enfants. Il n’est pas rare que l’entrée à bas seuil dans la vie professionnelle se fasse par le biais d’activités lucratives exercées à des horaires irréguliers et des engagements pendant le week-end. La disponibilité des places d’accueil pour les enfants est réduite dans de nombreux endroits et, dans la grande majorité des cas, des horaires de travail irréguliers ne sont guère compatibles avec les horaires réguliers des offres d’accueil institutionnalisées.

Compte tenu de l’incertitude quant à la durée du séjour des titulaires du statut S, une intégration rapide dans le marché du travail revêt une grande importance, tant pour les intéressés que pour l’économie suisse. Grâce à une collaboration étroite et ciblée entre la Confédération, les cantons, les partenaires sociaux et l’économie, des mesures spécifiques doivent être mises en œuvre rapidement et de manière efficace.

Mesures à l’échelle nationale

En complément des PIC, des mesures nationales[10]Les mesures nationales mettent l’accent sur le renforcement de la professionnalisation, de la qualité et de l’innovation dans l’encouragement de l’intégration. Cf. Document-cadre PIC … Lire la suite) soutiennent l’intégration professionnelle des personnes immigrées :

  • Mieux utiliser le potentiel de travail et de main-d’œuvre qualifiée des femmes : Encourager l’intégration professionnelle des femmes du domaine de la migration peut contribuer de manière significative à une meilleure utilisation du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (cf. ci-dessus concernant les femmes en situation de regroupement familial et dans le domaine de l’asile). Le SEM a commandé une étude en 2023 afin d’obtenir des connaissances approfondies et de proposer des mesures concrètes, avec un accent particulier sur le domaine de l’asile. Les résultats sont attendus pour l’automne 2024. La mise en œuvre pourrait par exemple prendre la forme d’un programme national d’impulsion (à partir du milieu de 2025).
  • Renforcer la collaboration avec les entreprises et l’économie : En 2023, le SEM a adopté différentes mesures visant à intensifier la collaboration avec les employeurs et les branches professionnelles, en particulier pour l’établissement de certificats de branche et pour des plateformes de mise en relation d’employeurs et de demandeurs d’emploi (matching).
  • Accompagner les procédures de reconnaissance des qualifications étrangères : Afin de faciliter l’insertion dans le marché du travail des immigrés qualifiés (en particulier des femmes venues dans le cadre d’un regroupement familial) et de lutter contre la déqualification sur le marché du travail, le SEM collabore depuis 2023 avec des organisations qui accompagnent et soutiennent les personnes dans la procédure de reconnaissance de qualifications étrangères.
  • Créer une base de données et de pilotage permettant de mieux utiliser le potentiel de la main-d’œuvre des personnes immigrées dans le cadre du regroupement familial en Suisse : Aucun relevé systématique de données n’existe dans le domaine du regroupement familial (hors domaine de l’asile). De telles données sont indispensables pour piloter de manière efficace des mesures visant à mieux utiliser le potentiel de main-d’œuvre générale ou spécialisée de ce groupe-cible. Il est nécessaire de mettre en œuvre des projets de collecte et d’évaluation des données.

Annonce des demandeurs d’emploi admis à titre provisoire et des réfugiés reconnus (AP/R) au service public de l’emploi

Modalités de la mesure

L’art. 53, al. 5, LEI est entré en vigueur le 1er juillet 2018 dans le cadre de la législation de mise en œuvre de l’art. 121a Cst. Il prévoit que les autorités cantonales d’aide sociale annoncent les AP/R (mais pas les titulaires du statut S) sans emploi au SPE. Dans l’optique d’une meilleure exploitation du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse, l’objectif de cette réglementation est de
supprimer les obstacles administratifs en vue d’une intégration rapide et durable des personnes relevant du domaine de l’asile sur le marché du travail. […]

Selon l’ordonnance sur l’intégration des étrangers (OIE ; RS 142.205), l’obligation d’annonce ne s’applique qu’aux personnes jugées aptes au travail (art. 9, al. 2, OIE). Les cantons règlent de manière autonome la procédure d’annonce (art. 9, al. 1, OIE), c’est-à-dire les détails de celle-ci et les compétences en matière d’évaluation de l’employabilité. […]

Enseignements relatifs à la mise en œuvre et à l’impact de la mesure

Dans les dépôts de programme de l’AIS déposées à la fin d’avril 2019, les cantons ont été invités à indiquer comment l’obligation d’annoncer les AP/R aptes au marché du travail était coordonnée et réglée avec le SPE.

Les réponses des cantons montrent que la collaboration entre le service en charge de la gestion des cas (office de la migration, des affaires sociales ou tiers mandaté) et l’office du travail ou l’ORP est réglé de différentes manières. L’évaluation de l’employabilité est communiquée à l’ORP par le service en charge de la gestion des cas ou par un spécialiste en insertion professionnelle (job coach) à l’ORP, qui décident ensuite de l’employabilité.

Les personnes sont en général jugées aptes à entrer dans le marché du travail lorsqu’elles satisfont aux critères suivants, fondés sur les recommandations de la CII : niveau linguistique A2 au minimum, aptitude au placement (état de santé, garde des enfants assurée, etc.), connaissances de base du marché du travail suisse, motivation, preuve des efforts entrepris pour trouver du travail.

Le monitorage de l’évaluation des effets de l’art. 53, al. 5, LEI se fonde sur les données issues du système d’information en matière de placement et de statistique du marché du travail (PLASTA). En 2023, 160 087 demandeurs d’emploi, en moyenne mensuelle, étaient inscrits dans les ORP, dont 2554 AP/R (1901 hommes et 653 femmes), soit une proportion d’environ
1,6 %. Les sorties du système sont enregistrées par différents codes selon le motif de désinscription. Le soutien des ORP pouvant conduire à la prise d’un emploi de diverses manières, les motifs de désinscription saisis dans PLASTA ne permettent pas de tirer des conclusions fiables sur le succès des recherches d’emploi.

L’inscription dans un ORP permet un placement actif, mais aussi un accès privilégié à Job-Room, qui facilite la recherche autonome d’un emploi des personnes inscrites. De même, lors des entretiens de conseil, les AP/R reçoivent des informations importantes sur le marché suisse du travail et sur les meilleures stratégies de candidature à adopter, ce qui a un impact positif sur le succès de la recherche d’emploi, sans qu’il soit
possible de le démontrer statistiquement dans tous les cas.

Évolutions actuelles et perspectives

Les données issues de PLASTA ne permettant pas de tirer des conclusions fiables sur le placement, le SEM prévoit de réaliser en 2024 une étude sur l’impact de la mise en œuvre de l’art. 53, al. 5, LEI. Le SEM souhaite obtenir des informations notamment sur les questions suivantes :

  • Quel est le nombre d’AP/R annoncés par les autorités d’aide sociale par rapport au
    nombre d’AP/R jugés employables par les ORP et inscrits à ce titre dans le système ? Quel est le profil de ces personnes (âge, sexe, etc.) ?
  • Combien d’AP/R sont-ils placés par les ORP et quelle est la durabilité de ces placements (durée de l’emploi) ?

L’étude devra notamment servir de base à un partage d’expériences (mesures mises en œuvre, financement) sur la collaboration entre les autorités concernées.

Source : « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, pages 46-50, consulté le 8 avril à l’adresse : https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf )).

Le rapport dans son intégralité

Pour lire le rapport dans son intégralité, vous pouvez vous cliquer ici ou le consulter en pdf ci-dessous.

Notes
Notes
1 « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, consulté le 8 avril et est accessible sur https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf
2 « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 46, https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf
3 Communiqué du Conseil fédéral du 15 mars 2024, consulté le 8 avril sur https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-100377.html
4 « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 46, https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf
5 « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 50, https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf
6 « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 51, https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf
7 « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 46 à 50, https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf
8 Cf. Suivi de l’encouragement de l’intégration – Indicateurs PIC / AIS
9 « Vue d’ensemble de la promotion du potentiel de la main-d’œuvre en Suisse (mise en œuvre de l’art. 121a Cst.) », Rapport du Conseil fédéral, publié le 15 mars 2024, p. 48, https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/86664.pdf
10 Les mesures nationales mettent l’accent sur le renforcement de la professionnalisation, de la qualité et de l’innovation dans l’encouragement de l’intégration. Cf. Document-cadre PIC 2024-2027 (chap. 5.6